28 septembre 2008
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Le nouveau réseau Ondéa n'a pas encore un mois d'âge, mais cela ne l'empêche pas de faire fortement parler de lui. Horaires modifiés sans la moindre enquête ni la moindre concertation, trajets revus à la même sauce : les clients ont découvert la réalité dès le 1er septembre, et ils n'ont pas tardé à faire remonter les motifs légitimes de leur insatisfaction.
Résultat (prévisible) : machine arrière toute sur les horaires inadaptés, et retour en odeur de sainteté des anciens horaires (ceux de la défunte ST2A).
Et pendant ce temps là, la communication officielle continue à battre son plein comme si de rien n'était. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sauf que ... si comme nous vous l'avions déjà indiqué dans notre précédente édition, si la comm' était fin prête pour le lancement du 1er septembre, l'intendance n'a pas vraiment suivi.
C'était encore et toujours le cas cette semaine dans les rues aixoises où l'on pouvait voir au choix soit des arrêts dont les panneaux indicateurs hésitent encore entre cette fonction et celle plus noble d'objet d'art contemporain (aucune trace des horaires sur la plupart des panneaux en question, il faut dire que chez Ondéa, les horaires, ça va, ça vient, bref ça change sans arrêt) ...
... soit des arrêts à l'ancienne mode, joliment fichés dans une jante de voiture lestée de béton, et dont certains (photo ci-contre), sont toujours à l'effigie de la ST2A.
Résultat (prévisible) : machine arrière toute sur les horaires inadaptés, et retour en odeur de sainteté des anciens horaires (ceux de la défunte ST2A).
Et pendant ce temps là, la communication officielle continue à battre son plein comme si de rien n'était. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sauf que ... si comme nous vous l'avions déjà indiqué dans notre précédente édition, si la comm' était fin prête pour le lancement du 1er septembre, l'intendance n'a pas vraiment suivi.
C'était encore et toujours le cas cette semaine dans les rues aixoises où l'on pouvait voir au choix soit des arrêts dont les panneaux indicateurs hésitent encore entre cette fonction et celle plus noble d'objet d'art contemporain (aucune trace des horaires sur la plupart des panneaux en question, il faut dire que chez Ondéa, les horaires, ça va, ça vient, bref ça change sans arrêt) ...
... soit des arrêts à l'ancienne mode, joliment fichés dans une jante de voiture lestée de béton, et dont certains (photo ci-contre), sont toujours à l'effigie de la ST2A. Partager cet article
