Erreurs de gestion, investissements inconséquents, prévisionnels irréalistes, et rejet du compte de campagne de Sarkozy en 2012 pour cause de dépassement volontaire (mais pas assumé) de la limite autorisée. Les comptes de l'UMP sont dans le rouge vif. A eux seuls, les parlementaires du parti ont les moyens de renflouer les caisses sans pour autant tomber dans la misère.
Mais, une fois de plus, c'est aux autres que Copé et Cie demandent de mettre la main au porte-monnaie pour rattraper leurs propres erreurs. Alors, un seul mot d'ordre : plus un rond pour l'UMP-thon !