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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 07:45

LeGranDom-RallongeBudgetaire.jpg

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 11:52

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 07:45

UneEssor15sept2011« Les quatre vérités de Dominique Dord ». Le titre s’étale en gros caractères à la une de l’Essor Savoyard d’hier. En le voyant, il y a de quoi être frappé de stupeur. Et pour cause, le Journal d’Aix les Bains vient tout juste de clore une série de quatre articles, intitulée « Ces affaires qui devraient faire trembler la mairie ».

 

Quatre affaires, quatre vérités, le parallèle est saisissant. Serait-ce à dire que, par le truchement d’une interview à un des hebdos papier locaux, le député-maire répondrait aux articles publiés par le quotidien électronique ? Ce serait une première. Dord se refusant même à citer en public le nom du dit journal ainsi que le nom de son rédacteur en chef. Ce serait une première, et ce serait intéressant. Et même très intéressant de savoir quels arguments la mairie peut avancer en réponse à ceux développés par le Journal d’Aix les Bains, et aux questions qu’il pose.

 

Quel cadre légal permet à l’OTT de verser des subventions plus que conséquentes à la société privée organisatrice de Musilac ? Pourquoi la ville reste-t-elle actionnaire du casino Grand Cercle alors que cela lui est strictement interdit par la loi ? A quel titre l’OTT gère-t-il le camping municipal du Sierroz ? Et enfin pourquoi et dans quelles conditions des élus et des fonctionnaires de la maire bénéficient-ils de véhicules de fonction ?

 

Oui, assurément, il eut été plus qu’intéressant d’entendre les arguments de la municipalité sur tous ces points. Hélas, quatre fois hélas, ils n’étaient visiblement pas à l’ordre du jour de la rencontre entre l’Essor et le maire. Qui préfère discourir sur autre chose, et aligner de ci de là quelques banalités déjà dites et redites maintes fois en d’autres lieux. Dame, c’est qu’à moins d’un an des élections législatives, il faut bien commencer à marteler les messages de propagande électorale.

 

 

Déception donc. Mais pour autant, l’interview « vérités » (au pluriel puisqu’elles sont censées être au nombre de quatre) de l’Essor ne manque pas totalement d’intérêt. Nous aurons l’occasion d’y revenir dans les prochains jours. Pour parler des thermes, des législatives, ou encore de la maternité.

 

A suivre …

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 07:45

Si l’aménagement goudronné le long des berges du lac, au ras de l’eau, fait incontestablement le bonheur de nombreux badauds, à pied, en rollers ou à vélo, une question se pose : cette nouvelle voie est-elle vraiment réservée aux déplacements dits « doux » ?

 

De prime abord, la réponse semble évidente. Alors pourquoi la poser nous direz-vous. Eh bien parce qu’un lecteur nous a rapporté une scène dont il a été témoin la semaine dernière. Il rentrait à vélo de la plage du Bourget du Lac, en empruntant comme il se doit cette nouvelle voie à l’écart du trafic automobile de la RD1201. Chemin faisant, le voila qui tombe nez à nez avec un petit attroupement, à hauteur de l’hôtel du Poète. Le motif de cet attroupement ? Des piétons, dont un couple avec une poussette, sont en train de sermonner un jeune qui circule à scooter sur cette voie qui, selon toute vraisemblance, est interdite aux véhicules à moteur.

 

Le ton est assez vif et les promeneurs semblent déterminés à contraindre le jeune « scooteriste » à rebrousser chemin et à quitter cette voie qui ne lui est pas destinée. Pour la petite histoire, le jeune en question réussit à forcer le barrage et à poursuivre sa route. En toute latéro-illégalité1 ? Rien n’est moins sûr.

 

Et pour cause, si les nouveaux accès qui viennent d’être aménagés comportent bien des plots en bois interdisant le passage aux voitures, en plusieurs endroits rien ne vient indiquer que la nouvelle voie est interdite aux scooters et autres engins motorisés à 2, 3 ou 4 roues. Exemple ci-dessous avec le point d’accès situé sur le parking de la piscine.

 

PisteCyclableLac.jpg

 

1 Néologisme aixois de la 1ère décennie du 21ème siècle, désignant l’état d’une personne ou d’une action ne se situant pas hors la loi, mais à côté de la loi, selon la célèbre formule du premier édile local.

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 07:45

CarnetScolaire.jpgLa rentrée scolaire 2011/2012 dans les écoles aixoises n’a pas failli à la tradition. Au menu, une conférence de presse des élus, pour dire tout le bien qu’ils pensent d’eux-mêmes et de leur action. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Au menu également, le « carnet scolaire 2011/2012 ». Fascicule de 12 pages en couleur, censé fournir toutes les informations utiles aux parents des bambins scolarisés.

 

Tradition oblige, ce document s’ouvre sur « le mot du maire ». Lequel ne fournit pas la moindre information utile, se contentant de porter aux nues l’action de la majorité municipale et de sa « ville d’avance ». En prime cette année, ce court texte de 301 mots était émaillé de fautes d’orthographe, d’accord ou encore de syntaxe. Sacré exemple pour les enfants ! C’est à se demander ce qui est le pire : que le maire soit vraiment l’auteur de ce texte, ou bien que cette prose approximative et ampoulée émane de son service communication qui coûte fort cher aux contribuables aixois.

 

Toujours tradition oblige, bien que les écoles aixoises ne comptent à peu près que 2.000 enfants, le dit livret a été tiré à plus de 10.000 exemplaires. Quand 1.500 aurait amplement été suffisants. Si ce n’est pas de l’argent gaspillé, on veut bien manger notre chapeau. Gaspillé, mais pas perdu pour tout le monde. Puisque le document en question ne manque pas de faire la propagande électorale du député-maire en ne trouvant que des bons côtés à son action. Même l’installation de deux bungalows préfabriqués à l’école de Saint-Simond y est présentée comme un fait extraordinaire. Alors que ce serait plutôt le symbole d’un total manque d’anticipation et de vision à moyen terme.

 

 

Mais la grande nouveauté, c’est que le carnet scolaire, déjà tiré en six fois plus d’exemplaires que nécessaire, se voit cette année doublé d’un n° de la Lettre d’Aix les Bains, majoritairement consacré à … la rentrée scolaire. Et cette fois-ci, ce ne sont pas 10.000, mais plutôt 20.000 exemplaires qui ont été réalisés. Réalisés et facturés à la ville, donc à ses contribuables. Tout ça pour fournir des informations qui concernent moins de 10% des aixois.

 

Oui, cette année pour la rentrée scolaire, c’était opération « fenêtres ouvertes » à la mairie. Ouvertes bien en grand, pour mieux pouvoir y jeter l’argent des contribuables.

 

 

LE MOT DE LA FIN

L’information figure en petit dans le dit carnet scolaire. Les tarifs des cantines aixoises seront réévalués en janvier 2012. Il n’est pas inutile de rappeler que la précédente réévaluation intervenue en janvier 2009 avait été suivie d’une autre à la rentrée de septembre 2009. Avec, à la clé, des augmentations allant jusqu’à +42%. Et avec au final, des tarifs qui, loin d’être 30% moins chers que ceux des autres villes, leur sont supérieurs. « Payer plus pour payer plus », telle est la nouvelle devise de l’UMP !

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 07:44

Le week-end dernier a été beau. Beau et chaud pourrait-on même ajouter pour rendre hommage à l’art de la contrepèterie de nos amis belges. Tout particulièrement samedi. Et hop, ça n’a pas manqué. Comme souvent, week-end beau et chaud a une nouvelle fois rimé avec pic de pollution.

 

Un pic dont les conséquences étaient encore visibles lundi matin. Et « s’offraient » aux yeux de quiconque se hasardait sur les lieux (photo ci-dessous). Eh oui, hélas, une fois de plus les « crétins des Alpes » ont frappé. Tout particulièrement au cap des Séselets, nouveau haut lieu de la pratique du kyte surf sur le lac. Un endroit où les visiteurs (certains, et on ne sous-entend nullement que ce sont les pratiquants du sport énoncé ci-dessus) ont visiblement le cerveau … lent.

 

En d’autres termes, on pourrait essayer de mettre le phénomène sous forme de problème mathématique : Sachant que la température moyenne de la journée à été de 26,5°C, que la température de l’eau s’est située entre 22 et 24°C, que le taux de couverture nuageuse a été inférieure à 1%, calculez le pourcentage d’abrutis ayant fréquenté les lieux et qui y ont laissé leurs déchets à côté des poubelles, pour la seule raison qu’elles étaient déjà pleines.

 

On ramasse les copies dans 2 jours.

 

PicPollution

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 07:46

Préambule : « Quoi ! Encore un article sur Musilac ! Mais y’en a marre ! ». On entend déjà les cris d’orfraies que certains de nos lecteurs ne vont pas manquer de pousser. On veut parler de ceux qui ont trouvé qu’on en avait fait un peu trop sur Musilac cet été. Alors oui, voila (encore) un article sur Musilac. Mais d’une nature bien différente. Ce qui n’enlève rien à la réalité de ce qu’on a pu dire au préalable. Fin de préambule.

 

 

TomatesMusilac1.jpgLa dernière édition de Musilac a laissé une bonne partie de l’esplanade du lac à l’état de champ de labour. La faute à la pluie et à la fréquentation record parait-il. En pratique, la faute à l’existence du festival, tout simplement. Mais passons. Car le labour en question est fertile. Ainsi, en certains endroits, là où les engins de manutention ont laissé de profondes marques dans le sol, poussent désormais des plants … de tomates (photos ci-contre et ci-dessous) !

 

Qui osera encore dire après ça que Musilac n’est pas un festival écolo ? A moins que ces plantations n’aient été réalisées par quelque riverain malicieux, désireux de disposer de munitions à lancer à la figure des organisateurs. Histoire de leur faire comprendre par le geste le peu de bien qu’il pense de leur façon cavalière de se moquer de la loi. Par le geste, car avec le vacarme ambiant, il est bien difficile de se faire entendre de qui que ce soit.

 

Mieux ! Et si ces plantations étaient en fait l’œuvre de la société organisatrice, désireuse d’approvisionner les buvettes du festival avec des produits frais locaux. Pour le coup, ce serait imbattable pour ce qui serait des « circuits courts ». Resterait quand même à planter une bonne partie de l’esplanade en houblon. Puisque visiblement la bière est ce qui se consomme en plus grande quantité à Musilac. Après les décibels bien sûr. Mais eux, ils sont hors catégorie !

 

En tout cas, voila la preuve que tout se tient. Et que la gestion de cette ville est pleine de cohérence. Des tomates sur les ruines de Musilac ? Rien de plus normal. En la personne de notre bon député-maire, qui n’est plus tout jeune, les organisateurs de Musilac ont su trouvé un bon … pote âgé. Un ami pas bêcheur pour un rond, toujours prêt à remuer ciel et terre (enfin surtout terre) pour eux. Une sorte de tuteur, qui les aide à redresser … leurs comptes. Avec lui c’est sûr, ils ne sont pas prêts de se retrouver sur la paille. Ni de connaitre la fin des haricots. Pas plus que la fin du beurre dans leurs épinards. Et tant pis s’il faut faire des coupes franches au sécateur dans d’autres budgets municipaux pour pouvoir continuer à arroser Musilac de subventions. C’est certain, il faut savoir cultiver ses relations. Et préserver son jardin secret. Surtout quand le secret concerne des affaires de gros choux, pardon, de gros sous.

 

Et devinez donc qui sont les patates dans cette histoire potagère !

 

TomatesMusilac2.jpg

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 07:45

Pour l’ambiance de la terrasse de leur restaurant le Kubix, située sur le toit du nouvel hôtel Aquakub, au Petit Port, les propriétaires ont choisi, ce sont eux qui le disent, une ambiance très méditerranéenne. Sans que l’on n’arrive à comprendre ce qu’ils entendent exactement par là.

 

Kubix.jpgCar, exception faite peut-être de l’olivier en pot qui orne un coin de la terrasse (photo ci-contre), le reste n’a pas vraiment grand-chose de méditerranéen. Sol en lattes de bois et PVC, garde-corps vitrés, tables en aluminium brossé, chaises en plastique translucide coloré … voila du déjà vu mille et une fois ailleurs, dans maints restaurants un peu partout dans le monde, et pas uniquement sur les rives de la Méditerranée. Avec comme fil directeur l’absence d’originalité dans une triste et uniforme modernité qui, comme toutes les modes, risque fort de passer aussi vite qu’elle a émergé.

 

Du côté des assiettes, on laissera chacun juger de la qualité de leur contenu. Comptez 23 euros pour le menu du jour à midi, verre de vin et café compris. Et 32 euros pour le menu le moins cher le soir.

 

Une ambiance méditerranéenne pour un restaurant avec vue sur le lac du Bourget, il fallait y penser. D’ici à ce que quelqu’un ait l’idée de saler les eaux du lac pour faire plus méditerranéen, il n’y a qu’un pas. A quand la pêche à la dorade depuis les jetées du Grand Port ? Au lieu d'un port à barques sur le Tillet, il faudrait peut-être prévoir l'aménagement d'un port pouvant accueillir des chalutiers.

 

 

LE MOT DE LA FIN

L’Aquakub et son restaurant le Kubix ont été construits à l’emplacement de l’hôtel-restaurant Les Platanes. Ancien haut-lieu du jazz à Aix les Bains, qui accueillait une bonne partie de l’année, et deux fois par semaine, des artistes régionaux ou plus lointains, pour des soirées jazz aussi endiablées que bon enfant. Après la disparition des Aixoises de Jazz en 2007, voici donc un nouveau lieu du jazz à Aix qui sombre corps et âme dans les eaux bleues du lac, pardon, de la Méditerranée. Comment dit-il déjà Michel Frugier ? Ah oui, le jazz a toute sa place à Aix les Bains. Toute peut-être, mais surtout de moins en moins !

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 07:44

RadeauMeduses.jpg

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 07:45

MediathequesDrome.jpgDevinette : quel est le point commun entre Nyons, Die, Crest et Saint-Vallier ? Il y a en fait plusieurs réponses possibles à cette devinette.

 

Par exemple, les quatre villes citées sont toutes quatre des communes du département de la Drôme. Ce sont également toutes quatre des communes de moins de 10.000 habitants : 4.318 pour la plus petite, Saint-Vallier, et 7.793 pour la plus peuplée, à savoir Crest.

 

Mais c’est un autre point commun qui nous intéresse. Un point commun sur lequel un aixois ayant passé une partie de ses vacances estivales du côté de Valence a attiré notre attention. Ces quatre villes comptent chacune en leurs murs une … médiathèque.

 

Eh oui, ces petites villes, dont la population est 4 à 7 fois inférieure à celle d’Aix les Bains, proposent toutes à leurs habitants les services culturels d’une médiathèque digne de ce nom. Et visiblement ça plait aux habitants en question ! De quoi tordre une nouvelle fois le cou au slogan « Aix les Bains, ville d’avance » dont l’équipe Dord nous a rabattues les oreilles lors de la dernière campagne électorale de 2008.

 

Aix les Bains ville (soit disant) d’avance mais toujours pas dotée d’une médiathèque, parce que parait-il ça coûte trop cher. Il est vrai qu’on ne peut pas en même temps faire une médiathèque (budget 1 M€ en prenant en compte la revente du bâtiment de l’actuel bibliothèque) et satisfaire à quelque besoin mégalo en se lançant dans un chantier à 6 M€ sur l’embouchure du Tillet …

 

 

 

(un grand merci à JP pour l’info et pour la photo)

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